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Évaluation
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Pour manger un nabe ou nabemono 鍋物 (LA fondue japonaise, prononcez “nabé” , faut aller à Kyoto ? Non, c’est à Marseille, ville-monde, que ça se passe ! Il suffit de pousser la porte de Nabe, à deux pas du Vieux Port coté Cours Estiennes d’Orves. Un gastro, tant par la fraicheur des plats et aliments que par l’accueil du patron et chef, Jean-François Sengkouvank (Jeff pour les intimes, à savoir, VOUS, ses clients ! , en passant par le décor épuré, la vaisselle japonaise, le convoyeur venu tout droit d’Asie (regardez son revêtement..., magique! , les luminaires vintages d’époque, jusqu’à la fresque de l’artiste italien engagé Cibo, qui représente un cerisier du Japon dont les fleurs deviennent des aliments. Seule entorse au Gastro, désolé, Jeff... le prix ! A 25€ le nabe à volonté, tu es fou. Ça coute un paquet de yen, ça, à Kyoto !!!! En plus, c’est sympa, on choisit son bouillon, on cueille au passage ce que l’on veut, on met à cuire 3 mn, et on déguste, puis on recommence... . Et quand on a fini, on récupère le bouillon et on le boit, comme tout amateur. Du coup, on va être obligé de (re venir à Marseille pour gouter ces exquises fondues. Et pour ceux qui préfèrent autre chose, il y a une sélection de Dim Sum de luxe, confectionnés avec des matières premières de grande qualité : homard, bœuf Angus, truffes… . Mais aussi du fameux bœuf Wagyu ! Et pour finir, les fameux Mochi glacés, que Jeff a été le premier à introduire sur Marseille. Pour arroser le tout, une fine sélection de sakés, des bières japonaises rares, ou de bons thés. Bref, Marseille te dit merci, Jeff, pour ton idée, ton accueil, ton sourire, ton envie..., et notre plaisir !