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Note moyenne
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Certes, l'hôtel mériterait un petit coup de peinture. Mais il a un charme indéniable.En revanche, courez-y pour sa cuisine. J'avais discuté avec le chef dès le matin pour savoir si les ris de veau seraient disponibles, ils l'étaient. En entrée, le foie gras rôti dans une tranche de jambon de pays est un délice. Cuit juste comme il faut, délicatement posé sur une tranche de pain, ça se déguste impeccablement. Il fût suivi d'une assiette de ris de veau aux morilles. Si la recette est simple et connue, l'interprétation de Claude Izard est ici magistrale. Un pur régal. Puis, ayant trouvé dans les quelques bouteilles d'armagnac de Laubade un millésime 67, nous finîmes ce repas pas dans la douceur de la soirée.Pour info, les 2 verres de cet alcool nous ont été facturés 12€. Un cadeau. Service très avenant d'un ancien chef, ami du patron, qui aime raconter des histoires... Et en écouter.